Dans les pays en développement comme le Ghana, l’impact de la COVID-19 est nettement plus cruel, car la mesure de prévention la plus élémentaire – le lavage des mains – n’est pas accessible à tou·te·s. L’absence d’eau courante, aggravée par une augmentation des violences basées sur le genre lors des confinements, menace la vie des femmes et des filles ghanéennes.